Donald Trump a dit lundi qu’il espérait rencontrer à nouveau le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un, peut-être dès cette année, lors d’une rencontre avec le nouveau président sud-coréen qui n’avait pas démarré sous les meilleurs auspices.
Quelques heures avant de le recevoir à la Maison-Blanche, le président américain a lancé une charge aussi soudaine qu’inattendue à l’encontre de Lee Jae-myung, dénonçant «une purge ou une révolution» en Corée du Sud, en référence semble-t-il à des raids de la police contre des églises. Mais après une rencontre de 40 minutes dans le Bureau ovale, au cours de laquelle Lee Jae-myung a chanté les louanges de son hôte, Donald Trump s’est adouci. «Je suis sûr que c’est un malentendu», car «il y a une rumeur qui circule», a-t-il déclaré.
Sur le dossier nord-coréen, le président américain a estimé être sur la même longueur d’onde que son homologue sud-coréen, un dirigeant classé à gauche qui soutient le dialogue avec le Nord. Donald Trump, qui avait rencontré Kim Jong Un à trois reprises lors de son premier mandat (2017-2021), a affirmé avoir une excellente relation avec le leader nord-coréen et le connaître «presque mieux que quiconque, hormis sa sœur». «À un moment ou un autre, je le verrai. Je suis impatient de le voir», a-t-il dit à la presse, ajoutant espérer qu’une rencontre puisse avoir lieu cette année. Il a aussi affirmé que la Corée du Nord, dotée de l’arme nucléaire, avait testé moins de missiles depuis son retour à la Maison-Blanche, le 20 janvier.
Sur le dossier nord-coréen, le président américain a estimé être sur la même longueur d’onde que son homologue sud-coréen, un dirigeant classé à gauche qui soutient le dialogue avec le Nord. Donald Trump, qui avait rencontré Kim Jong Un à trois reprises lors de son premier mandat (2017-2021), a affirmé avoir une excellente relation avec le leader nord-coréen et le connaître «presque mieux que quiconque, hormis sa sœur». «À un moment ou un autre, je le verrai. Je suis impatient de le voir», a-t-il dit à la presse, ajoutant espérer qu’une rencontre puisse avoir lieu cette année. Il a aussi affirmé que la Corée du Nord, dotée de l’arme nucléaire, avait testé moins de missiles depuis son retour à la Maison-Blanche, le 20 janvier.
Donald Trump répète à l’envi avoir mis fin à six ou sept guerres en sept mois, une affirmation contestée, mais il ne s’est pas souvent exprimé sur la Corée du Nord, malgré l’étroite relation entretenue avec Kim Jong Un lors de son premier mandat. Les deux dirigeants se sont vus trois fois lors de sommets historiques : à Singapour le 12 juin 2018, à Hanoï le 28 février 2019 et à la toute fin juin 2019, sur la ligne d’armistice démilitarisée de 1953, que le président américain avait franchie symboliquement pour faire quelques pas sur le sol nord-coréen. Le président Trump avait affirmé un jour que les deux hommes étaient «tombés amoureux» l’un de l’autre, mais leurs rencontres n’ont produit aucune avancée majeure.
Depuis, la Corée du Nord s’est rapprochée de la Russie, à qui elle a envoyé plus de 10.000 soldats et des armes pour sa guerre contre l’Ukraine. La Corée du Nord, qui reste toujours techniquement en guerre avec le Sud depuis leur conflit (1950-1953), continue à refuser de discuter du démantèlement de son programme nucléaire. Lee Jae-myung, qui a critiqué l’armée américaine par le passé, s’est empressé de flatter le président Trump, déclarant qu’il avait fait des États-Unis «non pas un garant de la paix, mais un faiseur de paix». «Je suis impatient de vous voir rencontrer le président Kim Jong Un et de voir construire une Trump Tower en Corée du Nord et d’y jouer au golf», a-t-il déclaré.
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