L’Unité de Lutte Contre la Corruption (ULCC) rappelle avec fermeté les dispositions du décret du 8 septembre 2004, notamment le deuxième alinéa de l’article 11.
Selon ce texte, le Directeur général de l’ULCC détient un pouvoir étendu pour constater les infractions de corruption, rassembler les preuves, rechercher les auteurs et les déférer à la justice.
Cette précision intervient dans un contexte où la lutte contre la corruption en Haïti reste un enjeu majeur. En cas de besoin, souligne l’article, le Directeur général peut même requérir directement l’appui de la force publique pour mener à bien ses actions.
Cette réaffirmation vise à rappeler la portée légale des missions de l’ULCC, renforcer la légitimité de ses interventions et réitérer son engagement dans le combat contre l’impunité administrative et financière.
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