Sexualité : ce fantasme est partagé par 40% des femmes selon cette étude

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Sexualité : ce fantasme est partagé par 40% des femmes selon cette étude

Les fantasmes jouent un rôle essentiel dans notre épanouissement sexuel. Ils reflètent à la fois nos désirs les plus intimes et les normes sociales qui les façonnent. Parmi eux, l’idée d’un plan à trois occupe une place particulière dans l’imaginaire féminin. Selon une étude récente, 40 % des femmes auraient un fantasme en commun : le plan à trois. Découvrez pourquoi ce désir persiste dans l’imaginaire féminin.

Selon une enquête menée par la plateforme Wyylde, près de la moitié des femmes interrogées avouent être attirées par cette pratique. Mais pourquoi ce fantasme est-il si répandu ? Et que dit-il de nos envies sexuelles et des attentes que nous plaçons sur notre intimité ?

Le plan à trois, un fantasme récurrent mais discret : D’après les résultats de l’étude, 40 % des femmes déclarent rêver de partager un moment intime avec deux partenaires. Cette pratique, souvent jugée transgressive, semble toutefois séduire bien au-delà des clichés. Les couples, eux aussi, y trouvent leur compte : 56 % des répondants en couple estiment qu’une telle expérience pourrait raviver la flamme et rompre la monotonie. Mais ce fantasme reste bien souvent secret. Par peur du jugement ou d’altérer l’image qu’elles ont de leur propre sexualité, peu de femmes osent en parler ouvertement.

Cette discrétion témoigne de la complexité du rapport que nous entretenons avec nos désirs. Si le plan à trois fascine, il soulève également des interrogations : est-ce une envie purement fantasmée, ou un véritable besoin d’explorer des territoires inconnus ?

Fantasmes et évolution des désirs : Ce fantasme, loin d’être nouveau, s’inscrit dans une tendance plus large d’exploration des sexualités. Déjà en 2013, une étude réalisée révélait des chiffres similaires : 40 % des femmes et 43 % des hommes fantasmaient sur un plan à trois. Chez les moins de 25 ans, ce chiffre atteignait même 51 %. Ces données montrent que les envies évoluent avec l’âge, mais aussi avec les opportunités et les contextes culturels.

Par ailleurs, les fantasmes ne se limitent pas au triolisme. L’idée de céder aux avances d’un inconnu séduit 31 % des femmes interrogées, tandis que 15 % expriment une attirance pour des expériences plus sauvages et spontanées. Ces chiffres traduisent un désir d’échapper à la routine et de repousser les limites du conventionnel, même si toutes ne franchissent pas le pas.