L’accord du 21 décembre réagit au scandale de corruption à la Banque nationale de Crédit (BNC), impliquant Louis Gérald Gilles, son représentant. Dans une note publique datée du 26 juillet 2024, les membres du groupe demandent au Conseiller présidentiel de défendre son honneur, car les intérêts du pays priment sur ceux des individus.
Les membres de l’accord du 21 décembre n’écartent pas la possibilité de prendre des mesures contre Louis Gérald Gilles, leur représentant au Conseil présidentiel de Transition (CPT). Dans une note publique datée du 26 juillet 2024, ils ont enjoint leur représentant à défendre son honneur, par tous les moyens légaux généralement connus.
Pour le groupe du 21 décembre, l’intérêt du pays doit être la priorité. « Les hommes et les femmes d'État du « 21 Décembre » ne sacrifieront jamais les intérêts de la République à l'autel des intérêts partisans », peut-on lire.
Le conseiller présidentiel Louis Gérald Gilles est impliqué dans un acte de corruption au niveau de la BNC et l’accord du 21 décembre a réagi pour lui demander de prendre les dispositions nécessaires à cet effet. Le médecin et deux de ses collègues, à savoir Smith Augustin et Emmanuel Vertilaire sont accusés d’avoir exigé 100 millions de gourdes au président de la BNC pour qu’il soit maintenu au poste.
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