Des établissements scolaires transformés en abris provisoires par des personnes déplacées par suite des violences des gangs armés, depuis février dernier, se retrouvent en difficulté de rouvrir leurs portes.
Par ailleurs, des directeurs d’écoles de la capitale exhortent les autorités à prendre des dispositions afin de permettre aux élèves de reprendre leurs activités scolaires.
En dépit du constat d'une reprise timide durant les semaines écoulées, la majorité des écoles de la zone métropolitaine restent encore fermées. Au dire de l'Association des parents d'élèves d'Haïti (ASPAEDH), environ 900 établissements scolaires sont dysfonctionnels depuis la fin du mois de janvier. Parmi lesquels on compte ceux qui ont été vandalisés, incendiés ou pillés par des bandits armés et d'autres occupés par des déplacés internes.
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