Le Réseau National de défense des Droits Humains(RNDDH) dresse un rapport accablant des actes de violence allant du mois de Janvier au mois d'Avril 2024.
Selon ce bilan, 208 morts ont été recensés, 13 postes de peage installés par les gangs, 64 femmes et filles violées par des malfrats, 158 blessés par balles à Port-au-Prince, dans l'Artibonite et quelques rares villes du pays, 9 Manifestations anti-gouvernemantales violemment réprimées par des agents de la PNH, ce qui a engendré la mort de 4 personnes et 8 bléssés dont un journaliste.
Le bilan précise que la situation a été dégénérée le 29 Février au moment où des bandits armés s'assemblent dans une bande criminelle appelée"Viv ansanm". Ils ont pillé, brûlé 83 institutions publiques et privée dont 19 tribunaux de paix et 13 postes de pillage. Ils ont également coordonné 2 évasions et une tentative d'évasion.
Le RNDDH croit que depuis 1990 à 2024, la population haïtienne n'a jamais connu une transition aussi cruelle que celle dirigée par Ariel Henry et son équipe de concert avec la coalition politique issue des accords de 11 Septembre 2021 et du 21 décembre 2022.
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