Après la fuite des sextapes impliquant M. Ebang Engonga, une série de vidéos compromettantes attribuées à son épouse ont également été dévoilées sur les réseaux sociaux.
Certaines sources estiment même que c’est l’épouse elle-même qui aurait initialement diffusé les vidéos de son mari, avant de subir le même sort avec la publication de ses propres enregistrements intimes.
La Guinée équatoriale se retrouve plongée dans un scandale médiatique sans précédent, mettant en lumière la vie privée de ce couple de personnalités publiques. Cette affaire soulève de nombreuses interrogations sur les motivations et les circonstances de ces fuites d’images intimes.
L’affaire Baltasar Ebang Engonga et de son épouse illustre les dérives potentielles liées à la diffusion d’images intimes sans le consentement des personnes concernées. Cette situation met en lumière la nécessité de renforcer la réglementation et la protection de la vie privée face aux abus de la sphère numérique.
Leur diffusion virale a poussé les autorités équato-guinéennes à limiter le flux internet dans le pays pour stopper les téléchargements. Mais l’effet Baltasar s’est répandu comme une traînée de poudre hors du pays, avec des chansons, des danses, des photomontages lui attribuant le trophée du « ballon d’Or 2024 » ou proposant un médicament pour la puissance sexuelle baptisé « Balthazariem ».
Le sujet a même été évoqué mardi au Parlement kényan : le président de l’Assemblée nationale a comparé pendant les débats un chef de commission avec « cet homme très aimable avec qui les femmes ont aimé prendre du bon temps », s’attirant les foudres d’une députée pour sa « mauvaise conduite ».
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