L’OFATMA reconnaît qu’elle ne peut pas régler ses dettes envers les prestataires de soins parce qu’aucun contrat valide n’a été retrouvé dans ses archives. Ces contrats, qui auraient dû être signés et approuvés par la Cour Supérieure des Comptes, sont essentiels pour permettre le paiement.
Face à cette situation jugée grave, la nouvelle direction a lancé des démarches auprès des autorités compétentes, notamment le Conseil d’Administration des Organes de Sécurité Sociale (CAOSS), pour trouver une solution rapide. Une demande de dérogation a été envoyée afin d’autoriser exceptionnellement le paiement des prestataires concernés.
Dès cette semaine, un Protocole d’Entente sera soumis aux prestataires pour permettre le règlement complet des arriérés. En parallèle, de nouveaux contrats conformes à la loi seront proposés pour éviter que ce genre de problème ne se reproduise.
L’OFATMA affirme vouloir respecter ses engagements dans les limites prévues par la loi. Elle dit aussi travailler à l’amélioration de la qualité des soins et à l’élargissement de leur accès sur tout le territoire national.
Elle remercie les prestataires pour leur patience et leur compréhension dans ce contexte difficile que traverse le pays.
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