La police de West Palm Beach arrête un homme qui aurait menacé de tuer le président Trump

• Par Le Placentin
• 25-01-2025
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La police de West Balm Beach, en Floride, a annoncé samedi l'arrestation d'un homme de 46 ans qui aurait menacé de tuer le président Donald Trump sur les réseaux sociaux.

Lors d'une conférence de presse samedi, le chef de la police, Tony Araujo, a déclaré que la police avait reçu une information le 19 janvier – la veille de l'investiture de Trump – selon laquelle l'homme, Shannon Atkins, avait proféré des menaces contre Trump sur Facebook. "Il s'agissait d'une rhétorique violente, d'opinions politiques et de ses opinions dirigées contre le président", a déclaré Araujo à propos des menaces.

Atkins a été arrêté près de son domicile de West Palm Beach dans la nuit du vendredi 24 janvier, a déclaré Araujo. Il a ajouté que le suspect aurait été retrouvé avec trois sacs de cocaïne dans sa poche.

Araujo fait face à un chef d'accusation de menaces écrites ou électroniques de tuer, de causer des blessures corporelles ou de commettre une fusillade de masse ou un acte de terrorisme – un crime au deuxième degré – et des accusations de possession de cocaïne, selon un communiqué de la police de West Palm Beach. Département. Les services secrets ont été informés de l'affaire, a déclaré Araujo.

Un responsable de l'USSS a déclaré qu'ils travaillaient avec la police de West Palm Beach et que "compte tenu des détails de l'enquête et de la menace, il a été décidé de porter l'affaire au niveau local avec des accusations dans l'État de Floride".

Atkins est détenu au centre de détention principal du bureau du shérif du comté de Palm Beach, selon la police. Alors qu'il était interviewé après l'arrestation, Araujo a déclaré qu'Atkins avait admis avoir écrit les publications sur Facebook, mais a déclaré qu'il plaisantait simplement.

"Les amis, ce n'est pas une blague. Rien de ce genre n'est une blague", a déclaré Araujo. "Vous ne pouvez vraiment pas dire des choses comme ça. Nous avons incident après incident, exemple après exemple, où ces menaces deviennent réelles et nous les prenons très au sérieux. " Araujo a exhorté les résidents à signaler des informations similaires à la police ou au FBI.